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Connected_urbis — Gera
Un des nombreux aspects du numérique pourrait être celui de la transformation de la compréhension des phénomènes collectifs par la mise en visibilité de leur composition par l'agrégation des événements singuliers. Grâce à cela, les individus avec leurs besoins et capacitésspécifiques ne sont pas des entités interchangeables comme dans la société de consommation de masse, au contraire, chaque membre est irremplaçable.
Sur le modèle de crowdsourcing comme Wikipedia, les institutions urbaines pourraient déterminer un de ses territoires comme un espace de participation et d'expérimentation. Cette portion dans notre cas sera notre vide d'environ 300m par 100m au cœur de la ville de Gera.
Grâce à une détermination moins rigoureuse de la planification urbaine, la notion fondamentale de l'urbanisme et de l'architecture comme une technologie de la limite, pourrait aider à créer un espace commun lisible, continue, perméable et structurant comme une open platform. Un espace où certains usages du numérique pourrait amplifier le lien entre les habitants et les inviter à participer à une stratégie de co-production de l'environnement urbain.
Ce projet tente de développer un protocole urbain comme une hybridation des outils urbain et architecturaux classiques avec les outils du numérique. Ce protocole utilise le numérique de sorte que le potentiel du territoire soit rendu visible et afin de redistribuer les possibilités de connexion entre les acteurs du processus urbain classique (mis en place par la société de consommation de masse).
Etant donné le nombre quasi infini de scénarios urbain, le projet ne peut en illustrer qu’une. Mais il saisi l’opportunité offerte par le numérique de promouvoir la participation des utilisateurs urbain auparavant exclus, et de les réintégrer activement dans la prise de décision sur le développement de leur territoire.
En opposition avec le principe des archipels urbains polarisant mis en place par l’économie globale, il est possible d’appliquer un principe de redistribution isotropique de la valeur. Et cela grâce à une organisation de la proximité, sur la base d’une interprétation continue d’une même structure collective, en opposition à la ville moderne qui essaye de donner une interprétation collective des exigences individuelles.
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